Warren Weaver, de la Fondation Rockfeller, commence à combiner le décryptage
automatisé et le traitement des langues naturelles, un acte fondateur du concept
de
traduction par ordinateur. Ces propositions peuvent être trouvées dans son
« Memorandum sur la Traduction ».
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250 mots
L’équipe de recherche ayant fondé l’expérience Georgetown-IBM fait la
démonstration en 1954 d’une machine qui pouvait traduire 250 mots du russe à l’anglais
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L’Automatic Language Processing Advisory Committee (ALPAC) américain a rapporté
que
la traduction automatique ne méritait pas les ressources ou les efforts
consacrés à
son développement.
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Système METEO
Dans des années 1970, le Canada a développé le système METEO, qui traduisait les
prévisions météorologiques de l’anglais vers le français. C’était un programme
simple qui pouvait traduire 80 000 mots par jour. Le programme était
suffisamment
réussi pour être utilisé jusque dans les années 2000 avant d’avoir besoin d’une
mise
à jour du système.
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Franz-Josef Och
Franz-Josef Och a gagné une compétition de vitesse de traduction automatisée en
2003 et il est devenu chef du Développement Traduction chez Google.
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Google Translate
Google a annoncé que son programme Google Translate traduisait suffisamment de
texte
pour remplir un million de livres par jour. Google a annoncé en 2016 que
l’implémentation d’une approche de réseau neural améliorait la clarté sur Google
Translate, en éliminant beaucoup de ses imprécisions. Ils l’ont appelé le
système
Google Neural Machine Translation (NMT). Ce système a commencé à traduire des
paires
de langues qu’on ne lui avait pas appris. Les programmeurs ont appris au système
la
traduction de l’anglais au portugais, ainsi que de l’anglais à l’espagnol. Le
système s’est alors mis à traduire le portugais et l’espagnol, alors que cette
paire
de langues ne lui avait pas été assignée.